Il Sedecia de Scarlatti – Rôle d’Ismaele

Chaise-Dieu – Août 2022

« Remplaçant au pied levé Emmanuelle de Negri en Ismaele, Marlène Assayag suscite l’admiration par sa maîtrise de ce rôle écrasant, sa ligne vocale toujours soutenue, son timbre chaleureux au vibrato discret. Parfaitement projetée, la voix est belle sur tout un large ambitus ; les vocalises sont impeccables, notamment dans « Il nitrito dei fieri cavalli », morceau de bravoure qui décrit « le hennissement des chevaux cruels » à côté du joli hautbois de Clara Espinosa Encinas, très sollicité tout au long de l’œuvre même si ici il se fait parfois un peu trop discret. Pour son interprétation du « tube » « Caldo sangue », qui évoque le « sang chaud » coulant sur la poitrine du jeune homme transpercée par une épée babylonienne, Marlène Assayag chante avec une sobriété bouleversante, sur le fil d’un piano tout en émotion retenue, accompagnée par une viole de gambe et des violons au diapason pour l’un des grands moments de la soirée. »

Forum Opéra, Anne Rouhette

 

« La soprano Marlène Assayag remplace au pied levé Emmanuelle de Negri, empêchée, et impressionne tant par sa maîtrise technique que par sa sensibilité dans ce rôle de prince fougueux et passionné. Lui sont dévolus certains airs parmi les plus virtuoses de l’œuvre. La voix est claire mais n’est pas sans rondeur et elle sied bien à la jeunesse du personnage. Dès sa première aria, « Del mio cor nel più segreto », c’est une âme qui est dévoilée au public, donnant le ton de l’ensemble de l’œuvre. Et c’est une âme qui s’éteint dans l’air d’agonie Caldo sangue qui tend vers le silence. »

Première Loge, Patrice Gay

 

Olimpiade de Vivaldi – Rôle d’Aminta

Théâtre des Champs-Elysées – Février 2022

« Enfin, Marlène Assayag (Aminta) confirme les grands espoirs actuellement placés en elle : la virtuosité est impressionnante, mais c’est surtout l’émotion émanant de son chant que l’on retiendra, avec notamment un superbe « Son qual per mare ignoto », dont la reprise finale, chantée pianissimo, est de toute beauté. »

Bachtrack, Stéphane Lelièvre

 

Le Voyage dans la Lune d’Offenbach

Massy – Janvier 2015

“Une mention toute spéciale à l’excellent Prince Caprice de Marlène Assayag, qui possède parfaitement le style d’Offenbach, qu’elle agrémente d’un jeu et d’une prononciation parfaits”

Forum Opéra – Jean-Marcel Humbert

 

Il Re pastore de Mozart

Brest – Décembre 2014

“S’il ne fallait retenir qu’un moment magique de cet opéra de jeunesse, donné au Quartz mardi soir, face à un public heureux de retrouver l’Ensemble Matheus, la palme d’or reviendrait sans conteste à l’air d’Aminta dialoguant avec le premier violon. Un grand bravo à Marlène Assayag et Laurence Paugam qui apportent une densité poétique toute mozartienne à leur interprétation”

Ouest-France

 

 

Récital “Voix Nouvelles”

Orange – Mai 2014

“La soprano parisienne Marlène Assayag ouvre la soirée avec un feu d’artifice vocal étonnant, foisonnant de difficultés. culotté d’ouvrir son programme avec ce “Je t’aime”, vocalise pour soprano et piano d’Isabelle Aboulker. Et c’est parfait. Joie, rire, pleurs, passions, tout y passe, avec perfection, aussi bien dans les vocalises périlleuses que dans le jeu. La voix, juste et pure, sonne comme le cristal. Plus tard, dans le seconde partie, Marlène Assayag campe, de la même façon, une Reine de la Nuit furieuse et éblouissante.”

Musique en Provence – Francis Pabst

 

 

Don Giovanni de Mozart

Festival de Saint-Céré – Août 2013

” Côté féminin, la soprano Marlène Assayag (Donna Anna) domine avec son chant très mozartien dont la puissance n’a d’égale que la subtilité du phrasé.”

Rue du Théâtre – Nöel Tinazzi